Spécialités

Notre expertise est aussi mise au service de plusieurs spécialités.
Et nous sommes actifs pour en développer d’autres.

Le Laboratoire MGD met à la disposition du médecin des analyses rapides et fiables.

La qualité est au coeur de nos préoccupations et notre expertise couvre de multiples domaines.  En voici quelques-uns tirés d’une liste non-exhaustive.

LE MAL QU’ON NE VOIT PAS

Si vous avez une allergie, vous connaissez le problème, en particulier ne pas être au mauvais endroit au mauvais moment.  Vous pouvez gérer si vous connaissez l’allergène, mais quand il n’est pas connu, que faire?  Le laboratoire utilise de plus en plus de tests pour vous aider, y compris des tests avec allergènes recombinants, très spécifiques : on peut confirmer que vous êtres allergiques à la pomme jaune mais pas à la pomme verte!

L’immunologie introduit une complexité accrue: le système immun est primordial pour se défendre contre tout type d’invasion, mais ses mécanismes impliquent tellement de molécules qu’il devient difficile de tout comprendre et de bien gérer.  Dans certains cas, les réactions immunes peuvent même se retourner contre votre corps et provoquer des maladies auto-immunes, détruisant vos propres organes!

MESURER L’INVISIBLE

Jusqu’aux années ’90, on suivait les bactéries ou les parasites au microscope ou en culture.  Avec l’arrivée de la biologie moléculaire, on peut maintenant doser l’ADN ou l’ARN des « envahisseurs ».  Le gros avantage est d’avoir une notion beaucoup plus précise du type de bactérie ou virus, et de les quantifier.

Si l’on prend les hépatites, une fois la maladie détectée avec les techniques plus « classiques », on pourra suivre l’évolution ou l’efficacité du traitement en mesurant directement la virémie, c’est-à-dire le nombre de virus présents.  Cette technique est applicable à d’autres maladies sérologiques, comme les maladies sexuellement transmissibles ou les maladies respiratoires.

UN INTRUS DOULOUREUX

Que celle ou celui qui a eu un calcul se lève et nous parle de douleur!  Hé oui, ces petits cailloux, souvent une conséquence directe de notre alimentation, peuvent nous causer des douleurs particulièrement virulentes.  Bien les identifier, c’est permettre de connaître leur origine, et donc de prévenir la formation de nouveaux cristaux. Et dans le meilleur des cas, il est parfois possible de les dissoudre par des traitements naturels.

Une fois le calcul au laboratoire, il est broyé et mis en poudre, puis formé en pastille et passé dans un spectromètre infrarouge.  Les données obtenues sont comparées à des spectres connus.  Dans le même calcul on peut avoir des cristaux différents reconnaissables à leur forme et couleur, que nous différencions.  Pour des calculs difficiles à identifier malgré nos spectres de référence, l’entraide et les discussions entre experts nous sont très utiles.

BONNES OU MAUVAISES BACTÉRIES?

Jusqu’à tout récemment, la microbiologie, c’était ces mauvaises bactéries, les virus et les prions, qui provoquent mille et une infections et maladies: le SIDA, les maladies sexuellement transmissibles, les oreillons, etc.  Et tout à coup, au début des années 2’000, on découvre que nous avons un deuxième cerveau dans nos intestins, plein de bactéries utiles!  Avec dix fois plus de bactéries que nous avons de cellules dans le corps, et qui communiquent avec nous!

La microbiologie évolue très rapidement.  En première intention, il importe de bien identifier les pathogènes (bactéries, virus, prions).  En plus, comme il se développe des bactéries résistantes aux médicaments, il faut être rapide pour éviter toute contamination.  En nouveauté, on s’intéresse maintenant à la flore intestinale, qui est non seulement responsable de troubles intestinaux, mais qui agit sur notre humeur et notre bonheur!

LES CHAMPIGNONS NE SONT PAS TOUS BONS!

La mycologie étudie les champignons.  Dans le domaine médical on fait référence à des cultures de champignons, moisissures et levures qui sont installées soient en périphérie, sous un ongle par exemple, ou en interne, le plus souvent dans l’intestin.  Le but est de caractériser ou non l’origine mycologique d’une pathologie.  C’est l’un des rares domaines de laboratoire où l’identification peut prendre plusieurs semaines.

La plupart des pathologies mycologiques  ne sont pas aussi virulentes que les infections bactériennes, mais en contre-partie elles sont souvent beaucoup plus difficiles à traiter.  A titre d’exemple les mycoses vaginales qui peuvent revenir de façon régulière malgré des traitements et une hygiène irréprochable.  Autre exemple, les levures Candida qui sont présentes chez l’homme sain dans la bouche, l’intestin, sur la peau et dans le vagin peut croître au point de devenir pathologique sans cause évidente.

UN ANIMAL DE COMPAGNIE?

Les parasites chez l’homme sont souvent des vers qui sont venus dans des conditions d’hygiène déficientes.  Cela est particulièrement vrai pour les enfants qui jouent dans la terre et portent mains et objets à la bouche : le plus commun s’appelle un oxyure et on peut l’éliminer relativement facilement.  D’autres comme le ténia peuvent venir d’animaux élevés dans des conditions insalubres, ou de poisson de lac.  Il faut pouvoir les identifier.

On arrive à trouver l’intrus, soit dans nos selles, sous notre peau ou dans des cas plus extrêmes dans le sang.  Pour le parasitologue, voir un oxyure qui sort de son oeuf au microscope, c’est extraordinaire; disons que l’image est moins intéressante pour le patient.  Il est important pour la recherche et l’identification de spécifier tout voyage récent fait dans des zones à risque.  Et inutile de rappeler de ne pas boire l’eau courante.

SI PETIT ET SI DANGEREUX

La sérologie infectieuse complète les analyses de bactériologie.  En bactériologie on suit la croissance des bactéries prélevées dans nos liquides physiologiques (sang, urine, selles, LCR).  La sérologie nous donne une image dans le temps de ce qui se passe et qui s’est passé : l’infection qui début, ou a eu lieu, la présence ou l’absence d’immunité vis-à-vis un pathogène?  Une réponse rapide peut parfois sauver une vie!

La demande en sérologie touche beaucoup les enfants, et aussi ces maladies qui touchent ou peuvent toucher une population importante, comme cela a été le cas pour le SIDA dans les années ’90.  Enfin, c’est grâce à la sérologie infectieuse qu’on peut identifier de nouvelles maladies comme le Zika, alors que les symptômes ne sont pas encore clairement perceptibles.  Ce domaine évolue rapidement suite aux modifications de notre environnement.

CES MOLÉCULES QUE NOTRE CORPS NE PEUT SYNTHÉTISER

Une vitamine est une molécule indispensable que le corps ne peut synthétiser : il faut donc avoir recours à des sources externes, en particulier la nutrition.  Il y a une quinzaine de vitamines connues.  Celle dont l’histoire a marqué l’Europe du XVI-XVIIè est la vitamine C, présente dans les fruits et légumes frais, absente dans la nutrition des marins au long cours: le déficit de vitamine C provoque le scorbut.

Toutes ces vitamines devraient se retrouver dans notre nourriture.  Ce n’est pas le cas chez les personnes qui ont une nutrition inadaptée ou une mono-diète industrielle.  On peut tenter de compenser en prenant des produits multi-vitaminés mais certaines doses de vitamines en très grand excès ne sont pas recommandées (les vitamines liposolubles comme la vitamine A, D, E), d’où le besoin d’un dosage selon l’anamnèse médicale.

Le mal qu’on ne voit pas

Si vous avez une allergie, vous connaissez le problème, en particulier ne pas être au mauvais endroit au mauvais moment.  Vous pouvez gérer si vous connaissez l’allergène, mais quand il n’est pas connu, que faire?  Le laboratoire utilise de plus en plus de tests pour vous aider, y compris des tests avec allergènes recombinants, très spécifiques : on peut confirmer que vous êtres allergiques à la pomme jaune mais pas à la pomme verte!

L’immunologie introduit une complexité accrue: le système immun est primordial pour se défendre contre tout type d’invasion, mais ses mécanismes impliquent tellement de molécules qu’il devient difficile de tout comprendre et de bien gérer.  Dans certains cas, les réactions immunes peuvent même se retourner contre votre corps et provoquer des maladies auto-immunes, détruisant vos propres organes!

Mesurer l’invisible

Jusqu’aux années ’90, on suivait les bactéries ou les parasites au microscope ou en culture.  Avec l’arrivée de la biologie moléculaire, on peut maintenant doser l’ADN ou l’ARN des « envahisseurs ».  Le gros avantage est d’avoir une notion beaucoup plus précise du type de bactérie ou virus, et de les quantifier.

Si l’on prend les hépatites, une fois la maladie détectée avec les techniques plus « classiques », on pourra suivre l’évolution ou l’efficacité du traitement en mesurant directement la virémie, c’est-à-dire le nombre de virus présents.  Cette technique est applicable à d’autres maladies sérologiques, comme les maladies sexuellement transmissibles ou les maladies respiratoires.

Un intrus douloureux

Que celle ou celui qui a eu un calcul se lève et nous parle de douleur!  Hé oui, ces petits cailloux, souvent une conséquence directe de notre alimentation, peuvent nous causer des douleurs particulièrement virulentes.  Bien les identifier, c’est permettre de connaître leur origine, et donc de prévenir la formation de nouveaux cristaux. Et dans le meilleur des cas, il est parfois possible de les dissoudre par des traitements naturels.

Une fois le calcul au laboratoire, il est broyé et mis en poudre, puis formé en pastille et passé dans un spectromètre infrarouge.  Les données obtenues sont comparées à des spectres connus.  Dans le même calcul on peut avoir des cristaux différents reconnaissables à leur forme et couleur, que nous différencions.  Pour des calculs difficiles à identifier malgré nos spectres de référence, l’entraide et les discussions entre experts nous sont très utiles.

Bonnes ou mauvaises bactéries?

Jusqu’à tout récemment, la microbiologie, c’était ces mauvaises bactéries, les virus et les prions, qui provoquent mille et une infections et maladies: le SIDA, les maladies sexuellement transmissibles, les oreillons, etc.  Et tout à coup, au début des années 2’000, on découvre que nous avons un deuxième cerveau dans nos intestins, plein de bactéries utiles!  Avec dix fois plus de bactéries que nous avons de cellules dans le corps, et qui communiquent avec nous!

La microbiologie évolue très rapidement.  En première intention, il importe de bien identifier les pathogènes (bactéries, virus, prions).  En plus, comme il se développe des bactéries résistantes aux médicaments, il faut être rapide pour éviter toute contamination.  En nouveauté, on s’intéresse maintenant à la flore intestinale, qui est non seulement responsable de troubles intestinaux, mais qui agit sur notre humeur et notre bonheur!

Les champignons ne sont pas tous bons!

La mycologie étudie les champignons.  Dans le domaine médical on fait référence à des cultures de champignons, moisissures et levures qui sont installées soient en périphérie, sous un ongle par exemple, ou en interne, le plus souvent dans l’intestin.  Le but est de caractériser ou non l’origine mycologique d’une pathologie.  C’est l’un des rares domaines de laboratoire où l’identification peut prendre plusieurs semaines.

La plupart des pathologies mycologiques  ne sont pas aussi virulentes que les infections bactériennes, mais en contre-partie elles sont souvent beaucoup plus difficiles à traiter.  A titre d’exemple les mycoses vaginales qui peuvent revenir de façon régulière malgré des traitements et une hygiène irréprochable.  Autre exemple, les levures Candida qui sont présentes chez l’homme sain dans la bouche, l’intestin, sur la peau et dans le vagin peut croître au point de devenir pathologique sans cause évidente.

Un animal de compagnie?

Les parasites chez l’homme sont souvent des vers qui sont venus dans des conditions d’hygiène déficientes.  Cela est particulièrement vrai pour les enfants qui jouent dans la terre et portent mains et objets à la bouche : le plus commun s’appelle un oxyure et on peut l’éliminer relativement facilement.  D’autres comme le ténia peuvent venir d’animaux élevés dans des conditions insalubres, ou de poisson de lac.  Il faut pouvoir les identifier.

On arrive à trouver l’intrus, soit dans nos selles, sous notre peau ou dans des cas plus extrêmes dans le sang.  Pour le parasitologue, voir un oxyure qui sort de son oeuf au microscope, c’est extraordinaire; disons que l’image est moins intéressante pour le patient.  Il est important pour la recherche et l’identification de spécifier tout voyage récent fait dans des zones à risque.  Et inutile de rappeler de ne pas boire l’eau courante.

Si petit et si dangereux

La sérologie infectieuse complète les analyses de bactériologie.  En bactériologie on suit la croissance des bactéries prélevées dans nos liquides physiologiques (sang, urine, selles, LCR).  La sérologie nous donne une image dans le temps de ce qui se passe et qui s’est passé : l’infection qui début, ou a eu lieu, la présence ou l’absence d’immunité vis-à-vis un pathogène?  Une réponse rapide peut parfois sauver une vie!

La demande en sérologie touche beaucoup les enfants, et aussi ces maladies qui touchent ou peuvent toucher une population importante, comme cela a été le cas pour le SIDA dans les années ’90.  Enfin, c’est grâce à la sérologie infectieuse qu’on peut identifier de nouvelles maladies comme le Zika, alors que les symptômes ne sont pas encore clairement perceptibles.  Ce domaine évolue rapidement suite aux modifications de notre environnement.

Ces molécules que notre corps ne peut synthétiser

Une vitamine est une molécule indispensable que le corps ne peut synthétiser : il faut donc avoir recours à des sources externes, en particulier la nutrition.  Il y a une quinzaine de vitamines connues.  Celle dont l’histoire a marqué l’Europe du XVI-XVIIè est la vitamine C, présente dans les fruits et légumes frais, absente dans la nutrition des marins au long cours: le déficit de vitamine C provoque le scorbut.

Toutes ces vitamines devraient se retrouver dans notre nourriture.  Ce n’est pas le cas chez les personnes qui ont une nutrition inadaptée ou une mono-diète industrielle.  On peut tenter de compenser en prenant des produits multi-vitaminés mais certaines doses de vitamines en très grand excès ne sont pas recommandées (les vitamines liposolubles comme la vitamine A, D, E), d’où le besoin d’un dosage selon l’anamnèse médicale.

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