Analyses biologiques médicales
Chaque donnée compte.
Et chaque décision aussi.
Analyses biologiques médicales
Une étape essentielle dans votre parcours de santé
Dosages, contrôles, bilans… Ces analyses permettent de confirmer un diagnostic, d’ajuster un traitement ou simplement de faire le point.
Elles font partie du quotidien de nombreux patients.
Et chaque résultat a son importance : pour décider, pour prévenir, pour rassurer.
Nous nous engageons à les rendre clairs, fiables et disponibles rapidement.
Parce qu’en santé, chaque donnée compte. Et chaque délai aussi.
Nos domainesd’analyses médicales
Sérologie infectieuse
Recherche d’anticorps ou d’antigènes liés à des infections
PCR/Biologie moléculaire
Détection d’agents infectieux avec haute sensibilité
Chimie clinique
Comprendre le fonctionnement du corps, marqueur après marqueur
Notre travail consiste à :
- Identifier les perturbations biochimiques liées à un organe ou un système
- Contribuer au diagnostic de maladies métaboliques, hépatiques, rénales ou endocriniennes
- Suivre l’impact de facteurs comme le stress, la nutrition ou une médication prolongée
À savoir
- La plupart des analyses sont réalisées dans notre laboratoire à Genève
- Certains paramètres nécessitent un jeûne ou une préparation spécifique
- La qualité de l’échantillon est essentielle pour obtenir un résultat interprétable
Endocrinologie
Quand le déséquilibre hormonal perturbe l’ensemble du système
L’endocrinologie est une spécialité des analyses médicales qui s’intéresse aux hormones, ces substances chimiques produites par les glandes (thyroïde, surrénales, hypophyse, pancréas, ovaires, testicules…) et qui jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement du corps humain.
Les hormones jouent un rôle discret, mais essentiel. Elles régulent la croissance, l’énergie, la température du corps, le cycle menstruel, le sommeil, la fertilité, l’humeur… et bien plus encore.
Les examens d’endocrinologie permettent de mesurer le taux de différentes hormones dans le sang, afin d’évaluer le bon fonctionnement du système hormonal. Un déséquilibre hormonal peut avoir un impact sur la croissance, le métabolisme, la fertilité, le poids, l’humeur ou encore le rythme cardiaque.
Ces analyses sont utiles pour diagnostiquer ou surveiller de nombreuses pathologies, telles que :
- les troubles de la thyroïde (hyperthyroïdie, hypothyroïdie),
- les anomalies hormonales de la puberté ou de la ménopause,
- les troubles de la fertilité chez l’homme ou la femme,
- le diabète (notamment via le dosage de l’insuline ou de l’hémoglobine glyquée),
- les maladies des glandes surrénales ou de l’hypophyse.
Les dosages hormonaux sont souvent sensibles à l’heure du prélèvement, au cycle menstruel ou à certaines prises médicamenteuses. Le laboratoire veille donc à effectuer ces analyses dans des conditions précises, pour garantir des résultats fiables et utiles au diagnostic.
Ces signaux chimiques agissent comme des messagers.
Lorsqu’ils sont bien synchronisés, tout fonctionne.
Mais dès qu’un déséquilibre s’installe, les effets peuvent se faire sentir : fatigue inexpliquée, variations de poids, troubles de l’humeur, du sommeil ou de la libido, difficultés de concentration..
À savoir
- De nombreuses analyses hormonales exigent un prélèvement à jeun ou à un horaire déterminé
- Certains dosages peuvent être influencés par une contraception ou un traitement hormonal
- Nos équipes vous informent des conditions à respecter selon votre situation
Marqueurs tumoraux
Surveiller ce que le corps exprime, parfois en silence
Le cancer ne se déclare pas toujours bruyamment.
Certains signaux biologiques peuvent apparaître bien avant les symptômes visibles.
Les marqueurs tumoraux sont des substances produites en quantité anormale par certaines cellules cancéreuses ou par l’organisme en réponse à leur présence.
Ils ne permettent pas à eux seuls de poser un diagnostic, mais ils apportent des indications utiles pour :
- Surveiller l’évolution d’une maladie cancéreuse connue
- Évaluer la réponse à un traitement
- Guider une démarche de prévention ou de dépistage ciblé
Ces marqueurs sont influencés par de nombreux facteurs : le type de cancer, son stade, l’état général du patient, mais aussi des éléments de style de vie comme l’alimentation, le stress, ou les expositions environnementales.
Ils s’intègrent donc dans une lecture plus large, toujours accompagnée d’un suivi médical attentif.
À savoir
- Ces analyses sont souvent prescrites dans un contexte de suivi ou de suspicion précise
- Certains marqueurs sont spécifiques à un type de cancer, d’autres sont plus généraux
- Leur interprétation demande rigueur, et s’appuie toujours sur un regard clinique global
Posologie médicaments
Pour un traitement mieux adapté, plus sûr, plus efficace
Chaque organisme réagit différemment à un traitement.
Ce qui est efficace pour l’un peut être insuffisant, voire mal toléré, pour un autre.
Le dosage des médicaments, aussi appelé dosage thérapeutique, permet de mesurer la concentration d’un médicament dans le sang. Il s’agit d’un outil essentiel pour adapter certains traitements et garantir leur efficacité tout en limitant les effets indésirables.
Certains médicaments doivent être maintenus dans une « zone thérapeutique » précise : une concentration trop faible peut les rendre inefficaces, tandis qu’une dose trop élevée peut être toxique. C’est notamment le cas pour les traitements contre l’épilepsie, certaines maladies psychiatriques, les immunosuppresseurs (après une greffe), les anticoagulants, ou encore les antibiotiques puissants.
Le médecin prescrit ces dosages dans plusieurs situations :
- en début de traitement, pour ajuster la posologie,
- en cas de doute sur l’efficacité ou les effets secondaires,
- lors de traitements au long cours nécessitant une surveillance régulière,
- chez certains patients à risque (personnes âgées, enfants, insuffisants rénaux ou hépatiques…).
Ces analyses nécessitent généralement une prise de sang réalisée à des moments bien précis par rapport à la prise du médicament (souvent juste avant la dose suivante, à l’« état d’équilibre »).
Grâce à ces dosages, le laboratoire contribue à un suivi thérapeutique sécurisé.
De nombreux facteurs influencent l’efficacité d’un traitement : la génétique, l’alimentation, l’âge, d’éventuelles interactions, ou encore le mode de vie.
C’est pourquoi un bon dosage ne remplace pas le suivi médical, mais il l’éclaire.
À savoir
- Ces analyses sont souvent prescrites dans le cadre d’un suivi spécifique
- Certains médicaments nécessitent un prélèvement à un moment précis après la prise
- Notre laboratoire vous guide, étape par étape, pour faciliter la procédure
Immunologie
Comprendre les réactions de défense… et quand elles se dérèglent
Le système immunitaire protège l’organisme.
Il identifie ce qui lui appartient, ce qui lui est étranger et déclenche une réponse quand une menace est détectée.
Mais parfois, cette réponse est disproportionnée, mal dirigée ou trop persistante.
C’est ce que les analyses immunologiques permettent de mieux comprendre.
Elles interviennent notamment :
- En cas d’allergies (connues ou suspectées), grâce à des tests précis, y compris sur allergènes recombinants
- Dans le suivi ou le diagnostic de maladies auto-immunes, quand le système de défense s’attaque aux tissus propres de l’organisme (comme le lupus, la polyarthrite rhumatoïde)
- Dans certaines infections chroniques ou inflammations complexes
- Dosage des immunoglobulines (IgA, IgG, IgM, IgE) : anticorps présents dans le sang
- Recherche d’anticorps spécifiques : anticorps antinucléaires (ANA), anti-ADN, anti-thyroïdiens, etc.
- Sérologies infectieuses : détection d’anticorps contre des virus ou bactéries (hépatites, VIH, rubéole…)
- Bilan allergique : dosage des IgE totales ou spécifiques
- Phénotypage lymphocytaire : analyse des cellules immunitaires (ex : dans le suivi du VIH)
Un résultat « positif » à un anticorps ne signifie pas toujours une maladie active. Le contexte clinique est essentiel.
À savoir
- Certains tests sont très ciblés, d’autres sont exploratoires
- L’interprétation dépend fortement du contexte clinique et des antécédents
- Une analyse peut être utile même en l’absence de symptômes visibles
- L’immunologie joue aussi un rôle clé dans la transplantation, les vaccinations et la lutte contre certains cancers
Sérologie infectieuse
Lire les traces qu’une infection laisse dans le temps
La sérologie permet de détecter la réponse immunitaire face à un virus, une bactérie ou un parasite.
Là où la bactériologie identifie un agent en cours de présence, la sérologie révèle ce qui s’est passé ou ce qui est en train de se jouer, parfois de manière silencieuse.
Elle est utilisée pour :
- Confirmer une infection récente ou ancienne
- Évaluer la présence ou l’absence d’immunité
- Contribuer à la détection de maladies émergentes, même en l’absence de symptômes typiques
C’est grâce à elle qu’il est possible d’identifier certaines infections transmissibles, de dépister des maladies infantiles, ou encore de documenter la réponse à un vaccin.
Elle reste un outil essentiel dans la surveillance épidémiologique, la prévention et le suivi.
À savoir
- Un résultat sérologique ne signifie pas toujours qu’une infection est active
- Le délai entre l’exposition à un agent pathogène et la détection d’anticorps peut varier (entre 6 jours et 3 semaines)
- Ces analyses sont particulièrement utiles dans un contexte de grossesse, d’épidémie ou de diagnostic différentiel
Hématologie
Explorer les grandes fonctions du sang, entre oxygénation, défense et équilibre
Le sang transporte, défend, régule.
Il irrigue tous les tissus, participe à l’immunité et assure la fluidité de la circulation.
Trois grands types de cellules le composent :
- Les globules rouges (hématies), qui distribuent l’oxygène et participent à l’équilibre métabolique
- Les globules blancs (leucocytes), au cœur des défenses immunitaires
- Les plaquettes (thrombocytes), qui interviennent dans la coagulation en cas de blessure ou d’hémorragie
L’hématologie permet d’évaluer l’état général d’un patient, mais aussi d’identifier des anomalies liées à une infection, une inflammation, une carence ou une maladie chronique (leucémie ou lymphome).
Ces analyses sont souvent prescrites en première intention, car elles fournissent une base solide pour orienter un diagnostic.
À savoir
- Un prélèvement à jeun peut être demandé selon les paramètres à analyser
- Certaines variations sont normales selon l’âge, le cycle ou un traitement en cours
- Une lecture complète du contexte clinique est essentielle à l’interprétation
Hémostase
Maintenir l’équilibre entre fluidité et coagulation
L’hémostase désigne l’ensemble des mécanismes qui permettent au sang de circuler librement tout en étant capable de coaguler en cas de besoin.
C’est un équilibre délicat. Trop peu de coagulation et le risque d’hémorragie augmente.
Trop de coagulation et c’est la porte ouverte aux thromboses ou embolies.
Les analyses d’hémostase permettent de :
- Vérifier le bon fonctionnement du système de coagulation
- Surveiller un traitement anticoagulant
- Identifier des troubles héréditaires ou acquis qui affectent la coagulation
- Préparer un geste chirurgical en toute sécurité
Elles sont souvent prescrites dans un contexte de saignements inhabituels, de bleus fréquents, ou en prévention lors d’une intervention.
À savoir
- Certaines analyses nécessitent un arrêt temporaire de traitement (à valider avec le médecin)
- Le prélèvement doit respecter un protocole strict au niveau du moment de la prise de sang par rapport à la prise du médicament
- Le prélèvement doit être acheminé dans un délai de 4-6 heures au laboratoire
Bactériologie et mycologie
Bactériologie: détecter les infections causées par des bactéries
La bactériologie est la partie de la microbiologie qui étudie les bactéries responsables d’infections chez l’être humain. Elle permet d’identifier les bactéries présentes dans un échantillon (urine, sang, gorge, selles, plaie, etc.) et de déterminer le traitement le plus adapté.
Elle est prescrite pour :
- Identifier la cause d’une infection (angine, infection urinaire, abcès, etc.)
- Choisir l’antibiotique le plus efficace (grâce à l’antibiogramme)
- Éviter l’usage inutile d’antibiotiques
- Surveiller certaines infections à risque (hospitalisation, maladies chroniques, etc.)
Comment ça se passe ?
- Un prélèvement est effectué : sang, urine, gorge, pus, selles, ou autre selon le type d’infection suspectée.
- L’échantillon est ensuite mis en culture pour faire pousser les bactéries.
- Une fois les bactéries identifiées, un test est réalisé pour savoir quels antibiotiques sont efficaces.
Résultats et interprétation :
Les résultats prennent généralement 24 à 72 heures, selon le type d’analyse. Ils doivent être interprétés par un médecin, qui pourra adapter le traitement si nécessaire.
A savoir :
- Certaines bactéries font naturellement partie de notre organisme (flore intestinale, cutanée, etc.)
- La présence d’une bactérie ne signifie pas toujours une infection : c’est le contexte clinique qui compte.
Mycologie
La mycologie médicale est la spécialité qui étudie les champignons microscopiques (appelés aussi levures ou moisissures) responsables d’infections appelées mycoses. Ces analyses permettent d’identifier le champignon en cause et d’adapter le traitement.
Un médecin peut demander un examen mycologique en cas de symptômes comme :
- Des rougeurs ou démangeaisons sur la peau, les ongles ou le cuir chevelu
- Des pertes inhabituelles ou des démangeaisons génitales
- Une toux persistante chez les personnes fragiles (mycoses respiratoires)
Ces infections peuvent toucher :
- La peau, les ongles, les cheveux (ex : pied d’athlète, mycose des ongles)
- Les muqueuses (ex : mycose vaginale, candidose buccale)
- Les voies respiratoires ou le sang, surtout chez les personnes immunodéprimées
Comment ça se passe ?
- Un prélèvement est effectué : grattage de la peau ou de l’ongle, écouvillon, crachat, ou autre selon la zone concernée
- L’échantillon est examiné au microscope et mis en culture pour identifier le champignon
Parfois, des techniques plus rapides comme la PCR sont utilisées
Les résultats peuvent prendre plusieurs jours (le temps que les champignons poussent en culture, qui peut prendre jusqu’à 3 semaines). Le médecin pourra ensuite prescrire un traitement antifongique adapté (crème, comprimé, etc.).
A savoir
- Les mycoses ne sont pas toujours graves, mais elles peuvent récidiver si elles ne sont pas bien traitées.
- Une bonne hygiène et un traitement complet sont essentiels pour éviter les rechutes.
- Certaines mycoses peuvent se transmettre, d’autres non.
PCR/Biologie moléculaire
Identifier, quantifier, mieux suivre
La biologie moléculaire a profondément transformé la façon de détecter certaines infections.
Elle permet de repérer directement l’ADN ou l’ARN d’un virus, d’une bactérie ou d’un parasite, avec une précision bien supérieure aux méthodes classiques (comme la culture).
Grâce à la technique de PCR (réaction en chaîne par polymérase), il est possible :
- De confirmer une infection, même à un stade précoce
- D’identifier précisément le micro-organisme en cause
- Et de suivre son évolution, en mesurant par exemple la charge virale
Cette approche est devenue incontournable dans le suivi de maladies chroniques comme les hépatites, ou dans la détection de pathologies transmissibles telles que les IST ou les infections respiratoires.
La PCR permet aussi de gagner en rapidité, en fiabilité et parfois d’éviter des étapes longues comme la culture.
À savoir
- Certains tests PCR nécessitent un prélèvement spécifique (sang, salive, urines, frottis…)
- Ils ne remplacent pas une consultation, mais aident à orienter ou confirmer un diagnostic
- Les résultats incluent souvent une quantification qui permet un suivi dans le temps
Dosage des vitamines
Pour un traitement mieux adapté, plus sûr, plus efficace
Chaque organisme réagit différemment à un traitement.
Ce qui est efficace pour l’un peut être insuffisant, voire mal toléré, pour un autre.
Le dosage des médicaments, aussi appelé dosage thérapeutique, permet de mesurer la concentration d’un médicament dans le sang. Il s’agit d’un outil essentiel pour adapter certains traitements et garantir leur efficacité tout en limitant les effets indésirables.
Certains médicaments doivent être maintenus dans une « zone thérapeutique » précise : une concentration trop faible peut les rendre inefficaces, tandis qu’une dose trop élevée peut être toxique. C’est notamment le cas pour les traitements contre l’épilepsie, certaines maladies psychiatriques, les immunosuppresseurs (après une greffe), les anticoagulants, ou encore les antibiotiques puissants.
Le médecin prescrit ces dosages dans plusieurs situations :
- en début de traitement, pour ajuster la posologie,
- en cas de doute sur l’efficacité ou les effets secondaires,
- lors de traitements au long cours nécessitant une surveillance régulière,
- chez certains patients à risque (personnes âgées, enfants, insuffisants rénaux ou hépatiques…).
Ces analyses nécessitent généralement une prise de sang réalisée à des moments bien précis par rapport à la prise du médicament (souvent juste avant la dose suivante, à l’« état d’équilibre »).
Grâce à ces dosages, le laboratoire contribue à un suivi thérapeutique sécurisé.
De nombreux facteurs influencent l’efficacité d’un traitement : la génétique, l’alimentation, l’âge, d’éventuelles interactions, ou encore le mode de vie.
C’est pourquoi un bon dosage ne remplace pas le suivi médical, mais il l’éclaire.
À savoir
- Ces analyses sont souvent prescrites dans le cadre d’un suivi spécifique
- Certains médicaments nécessitent un prélèvement à un moment précis après la prise
- Notre laboratoire vous guide, étape par étape, pour faciliter la procédure
Andrologie et Fertilité
Pour un traitement mieux adapté, plus sûr, plus efficace
Chaque organisme réagit différemment à un traitement.
Ce qui est efficace pour l’un peut être insuffisant, voire mal toléré, pour un autre.
Le dosage des médicaments, aussi appelé dosage thérapeutique, permet de mesurer la concentration d’un médicament dans le sang. Il s’agit d’un outil essentiel pour adapter certains traitements et garantir leur efficacité tout en limitant les effets indésirables.
Certains médicaments doivent être maintenus dans une « zone thérapeutique » précise : une concentration trop faible peut les rendre inefficaces, tandis qu’une dose trop élevée peut être toxique. C’est notamment le cas pour les traitements contre l’épilepsie, certaines maladies psychiatriques, les immunosuppresseurs (après une greffe), les anticoagulants, ou encore les antibiotiques puissants.
Le médecin prescrit ces dosages dans plusieurs situations :
- en début de traitement, pour ajuster la posologie,
- en cas de doute sur l’efficacité ou les effets secondaires,
- lors de traitements au long cours nécessitant une surveillance régulière,
- chez certains patients à risque (personnes âgées, enfants, insuffisants rénaux ou hépatiques…).
Ces analyses nécessitent généralement une prise de sang réalisée à des moments bien précis par rapport à la prise du médicament (souvent juste avant la dose suivante, à l’« état d’équilibre »).
Grâce à ces dosages, le laboratoire contribue à un suivi thérapeutique sécurisé.
De nombreux facteurs influencent l’efficacité d’un traitement : la génétique, l’alimentation, l’âge, d’éventuelles interactions, ou encore le mode de vie.
C’est pourquoi un bon dosage ne remplace pas le suivi médical, mais il l’éclaire.
À savoir
- Ces analyses sont souvent prescrites dans le cadre d’un suivi spécifique
- Certains médicaments nécessitent un prélèvement à un moment précis après la prise
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