Avant-garde
Ces analyses permettent d’évaluer l’état de la santé et d’estimer les risques de maladie pour agir en amont.
Ces analyses permettent d’évaluer l’état de la santé et d’estimer les risques de maladie pour agir en amont.
Le Laboratoire MGD met à la disposition du médecin des analyses rapides et fiables.
La qualité est au coeur de nos préoccupations et notre expertise couvre de multiples domaines. En voici quelques-uns tirés d’une liste non-exhaustive.
La science du XXIè siècle nous l’a dit : nous avons deux cerveaux. L’un est dans la tête et l’autre, dans notre intestin. Oui, nous parlons de la flore intestinale et elle est particulièrement utile et efficace, en bien comme en mal. Nous avons au moins dix fois plus de bactéries dans notre intestin que de cellules dans notre corps! Et l’on sait que ces bactéries émettent des messages organiques qui influencent tout le corps et notre cerveau.
Ces milliards de bactéries peuvent être divisées en trois groupes. Les « bonnes bactéries », nécessaires et en symbiose, aident à digérer les aliments à notre avantage, et produisent des métabolites qui ont des fonctions dans notre corps. Les « mauvaises bactéries », parfois pathogènes, qui digèrent en partie les aliments et utilisent nos ressources à leur fin, au détriment de notre santé. Et les « opportunistes », toujours présentes et pas toujours utiles.
Lorsqu’un bébé est désiré, nous sommes prêts à tout pour rendre ce moment exceptionnel. Or la fertilité ne fonctionne pas toujours sur commande. Le laboratoire offre différentes approches lorsque la conception ne se produit pas telle que désirée. Il sera donc possible de suivre l’état hormonal des deux partenaires, et lorsque la situation le demande, d’évaluer la qualité du sperme. Notre collaboration avec les gynécologues est primordiale.
Le rôle du laboratoire va plus loin: il peut par une prise de sang assurer que les besoins de la mère pour la grossesse sont satisfaisants, vitamines, acides gras nécessaires pour le développement du cerveau du bébé, oligoéléments et iode pour le bon fonctionnement de la thyroïde. Et toujours en collaboration avec votre gynécologue, il sera possible de détecter la situation génétique du foetus, sa santé, et la santé de la mère jusqu’à l’accouchement.
Lorsqu’on parle de problème génétique, on tient compte de maladies qui touchent un gène, comme la trisomie, et d’autres, qui ne touchent qu’une partie de gène (on parle entre autres de SNIPS) et qui influencent notre vie quotidienne, souvent en augmentant nos risques de problèmes de santé, comme un risque accru de cancer ou d’Alzheimer. C’est dans le cadre de la détection de ces modifications génétiques partielles que plusieurs tests sont offerts.
Il faut relativiser l’importance des marqueurs génétiques. Un gène, même muté, peut être activé ou bloqué en fonction de votre mode de vie, de votre nutrition. Ce phénomène de contrôle du gène pendant votre vie s’appelle l’épigénétique. Il est possible de limiter l’impact de gènes favorisant tel ou tel risque de maladie par une meilleure hygiène de vie. A la recherche génétique, il faut donc rajouter des analyses comme la mesure du stress oxydant.
Les demandes doivent être accompagnées d’un formulaire de consentement rempli : Consentement_genetique
Liens scientifiques:
1. Gènes ApoE et régimes associés en fonction des polymorphisme : APOEgenes_et_régimes_Nov_2021 Prévention des maladies cardiaques, du diabète, de l’hypertension artérielle, de la maladie d’Alzheimer, du surpoids et des pathologies pulmonaires.
2. Intolérance au gluten : CELIACgenes_FR
3. Détoxification du foie, des xénobiotiques : DETOXgenes_FR
Titre provocateur : bien sûr nous faisons tout pour notre bébé. Or, la connaissance du fonctionnement de la maman et du développement du bébé continue d’évoluer. On sait maintenant qu’il faut avoir des niveaux acceptables de vitamine B9 – acide folique pour que le développement du système nerveux du fœtus soit optimal.
Nous en savons un peu plus sur le développement du cerveau : par exemple, un apport adéquat d’acides gras Oméga 3 favorise le développement moteur et intellectuel de l’enfant qui va naître. On connaît mieux le rôle des cofacteurs de la glande thyroïde, une glande très sollicitée par la grossesse, l’effet du stress oxydant sur la mère et sur l’enfant, sur la prévention du diabète.
Il y a bien bien longtemps, quelqu’un qui n’était pas bien lorsqu’il mangeait était soit capricieux ou il avait un problème « psychologique ». Ces deux comportements existent toujours mais nous en savons plus. Maintenant, nous parlons d’allergie alimentaire, d’intolérance alimentaire, et dans certains cas d’hypersensibilité alimentaire.
L’allergie alimentaire est la plus simple : vous mangez par exemple des crevettes et votre gorge gonfle au point que vous ne pouvez plus respirer! C’est une allergie, claire et nette. Vous buvez du lait et vous êtes mal : on parle alors d’intolérance au lactose, ou pour le blé, au gluten. Enfin, dans certaines situations, des aliments vous mettent mal à l’aise, flatulences, etc., sans allergie et sans intolérance connue; on parle d’hypersensibilité.
Lorsqu’on parle de métaux lourds, on pense aux métaux les plus connus, l’arsenic, le cadmium, le mercure et le plomb, une liste non-exhaustive. Ces métaux sont toxiques et ont la « mauvaise habitude » de se loger dans les tissus : le mercure peut ainsi monter et cerveau et créer des lésions importantes. Il existe des façon chimiques et nutritionnelles pour les éliminer mais cela ne va pas de soi et peut prendre du temps.
Ces toxiques proviennent surtout de la pollution. Ce qu’on sait moins, c’est qu’ils peuvent provenir de substances chimiques (herbicides, pesticides) lors des épandages sur nos cultures. Le riz est particulièrement touché selon les pays d’origine. Les grands poissons comme le thon accumulent entre autre mercure et plomb. Comme ces métaux vont dans les tissus, on ne les voit pas dans le sang ou l’urine. Le dosage dans les cheveux peut aider.
Les neurotransmetteurs sont les messagers de votre cerveau et aussi de votre corps. Ils sont responsables de votre humeur, de votre capacité à réagir, de l’activation de vos muscles et de vos mécanismes de défense. Pouvoir les doser est intéressant sauf que … si vous cherchez une explication sur le fonctionnement du cerveau, on ne peut mesurer ce qui arrive dans le sang ou dans l’urine, donc pas très spécifique pour comprendre le cerveau.
Le dosage des neurotransmetteurs dans le sang ou l’urine peut être utile pour comprendre un épuisement chez un sportif, des problèmes sérieux d’humeur, de sommeil, de stress excessif, etc. Petite subtilité: les bactéries de votre intestin fabriquent aussi des neurotransmetteurs. Donc, il est suggéré de soigner votre ventre, votre microbiote, avant d’étudier votre cerveau.
Un texte plus complet se trouve dans ce lien : Neuro_08_2021
Il y a cent façons de manger et mille possibilité de régime! Pourquoi introduire le laboratoire dans ce domaine? Notre façon de manger a une telle composante culturelle et est si facilement influencée par la publicité qu’il est difficile de savoir si nous mangeons bien. Or le laboratoire intervient pour évaluer les besoins nutritionnels réels, et pour proposer des pistes pour améliorer notre santé et réduire nos risques de maladie avec une nutrition appropriée.
En dehors d’un contexte hospitalier, la nutrition « de tous les jours » est le parent pauvre de la médecine. « Notre meilleure médecine, c’est notre nourriture », « Nous sommes ce que nous mangeons ». Mais sommes-nous vraiment les meilleurs juges? Depuis quelques années, MGD propose différents profils pour évaluer les effets de la nutrition sur votre corps, et détecter les manques ou les excès à corriger. Il en résulte une meilleure qualité de vie.
On n’y prête pas grand attention. Presque toutes les fonctions de notre corps fonctionnent de façon rythmique, en étant plus ou moins actif puis ensuite au repos. Cela explique le besoin de sommeil, de se nourrir à intervalles. Certaines personnes sont plus actives le matin, alors que d’autres seront au « top » l’après-midi ou le soir. Il n’est pas facile de modifier ces rythmes, mais en prendre conscience c’est déjà bien.
Deux rythmes hormonaux quotidiens faciles à suivre dans la salive, le sang ou l’urine sont ceux du cortisol et de la mélatonine. Le cortisol est élevé juste avant le réveil et pour certains, c’est le signal du réveil. Il permet de détecter tôt un « burn-out ». La mélatonine augmente la nuit et facilite le sommeil. Trop basse, elle peut expliquer des problèmes de sommeil, et trop élevée le matin, une difficulté à se réveiller.
S’il y a bien une analyse qui ne dit rien au néophyte, c’est bien le stress oxydant. Et pourtant c’est très important. Beaucoup de réactions dans notre organisme se passent sans trop de difficulté, gérées par enzymes et cofacteurs. Sauf pour une partie non négligeable qui demande des réactions spéciales pour être métabolisés, comme les médicaments, les molécules complexes, certains toxiques. Et pour cela la cellule fait appel au stress oxydant.
Le stress oxydant (ou oxydatif) est composé entre autres d’oxygène hyper-actif, partie active des ROS, « reactive oxydative species » ou les radicaux libres. Parmi les « dégâts » que peuvent faire ces radicaux libres, citons la production de cholestérol LDL oxydé, qui participe à la production d’athérome dans les artères favorisant aussi les AVC, et l’oxydation de bases de l’ADN qui résultent en mutations lors des réplications, un pas vers un début de cancer.
Ce sont les offres qu’on retrouve dans presque tous les laboratoires, essentielles pour une bonne prise en charge de votre patient
Notre expertise est aussi mise au service de plusieurs spécialités.
Et nous sommes actifs pour en développer d’autres.
47, route des Acacias
1227 Les Acacias
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